L’odeur du fantasme et la trace du désir dans la culotte

Il y a des parfums qu’on n’oublie pas. Ceux qui s’impriment dans une culotte encore tiède, portée toute la journée, frottée contre une peau nue et chaude. Des fibres trempées de plaisir, marquées par la moiteur, la sueur, la cyprine. On ne parle pas de lingerie propre sortie de la machine. On parle de culottes vivantes. Portées. Usées. Chargées.

Au 0907 55 585 (2€/min) les femmes te parlent de leurs culottes sales comme on parle d’un secret. Elles racontent ce qu’elles portent, comment elles l’ont salie, ce qu’elles ont fait dedans.

Culotte portée, odeur de vagin et plaisir humide

Certaines aiment les garder deux jours. D’autres les portent au sport, les oublient exprès. D’autres encore les trempent de cyprine en se caressant sous leurs jeans, dans la rue ou en réunion. Ce qu’il reste ? Une culotte humide. Une tache sombre à l’entrejambe. Une odeur acide, chaude, animale. Une culotte qui dit : Sent moi.

Tu veux l’imaginer ? Tu veux qu’on te le raconte ? Tu veux qu’une voix te décrive la culotte collante, les traces blanches ou rouges, l’odeur encore présente sur ses doigts ? Tu es au bon endroit.